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29 septembre 2008

Commentaires

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La création artistique et libre mais elle a bon dos pour justifier une utilisation scandaleuse des subventions publiques.La mise en scène de Cheng Guang Feng est au plus de l'incitation à la consomation de psychotropes et au moins le degré zéro de l'exibitionisme.Le pavé dans la mare devarit faire parler de lui pour autre chose.

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Pas d'accord avec vous, reconnaissons que la recette est excellent tous les français réussiront à s’y retrouver, un bon p’tit film consensuel taillé pour l’exportation et un oscar car il n'aura pas de prix en France.Et puis ça rassure en ce moment, vous vous rendez compte le front populaire, la naissance des acquis sociaux au moment où ceux-ci disparaissent du paysage social un peu plus à chaque réunion de conseil des ministres.


En fait le film est taille pour l’export, bourré de clichés bien franchouillards, manque juste la baguette et le clacos.Ma femme a voulu qu'on aille voir à priori avec la promo de sortie, je me suis dit beau film.
OK: il est bien fait, mais qu’est-ce qu’on s’emmerde. on a le droit au rouge qui tâche, à l’épicier, la tour Eiffel, le haut des toits de Paris avec un gros clin d’œil au film Moulin Rouge, le vilain méchant, le gentil divorcé cocu, le syndicaliste, le bon copain, le barman et la belle petite poulette provinciale.

ma commune info aux abonnés absents , on va venir commenter ici ;-)

j'ai vu cet a m: convenu et mièvre, un monde stéréotypé , encore plus pénible que les choristes, heureusement, la photo est belle mais quand on connait Paris, on ne reconnait rien.Amélie Mélo Poulain,au moins c'était tourné à belleville;Jugnot et Kad, on est saturés.

Un peu copié sur Moulin Rouge et manque d'originalité en ce qui concerne l'histoire, les dialogues sont un peu fades. ceux qui aiment cette période de l'histoire et qui aiment les acteurs du films seront comblés

jacou ne s'interesse pas au cinéma
le cinema des politiques est plus marrant

J'ai vu , j'ai aimé, mieux que les choristes.moment sympa.
Nathy.

Rien à voir avec Entre Les Murs et il ne prétend nullement du même type de cinéma et si il fallait voir qu’un film ce mois-ci c’est évidemment celui de Laurent Cantet que je suis allé voir deux fois.Aussi diamétralement opposés que soient leurs styles et leurs écritures même si Entre les murs est un film très écrit au point de donner cette parfaite illusion du documentaire,je les crois portés par la même sincérité, la même envie de mener un genre à son paroxysme et le même perfectionnisme.J'utilise d'ailleurs ce film en classe de quatrième pour des travaux de français.
Merci de nous laisser commenter des films Daniel, tu devrais en faire une rubrique régulière.

moi je pense qu'il faut rester au premier degré comme si on regardait un beau spectacle avec l’impression que ses artistes s’amusent beaucoup entre eux et si ils ne nous font pas totalement entrer dans leur jeu, c'est un voyage dans le temps et dans le cinéma d’hier;La beauté des plans emportés par une caméra dynamique et des prise de vues toutes belles, des comédiens touchants de justesse, Kad Merad son goût du second degré et sa – belle – voix que l’on découvre, et les seconds rôles qui, à l’image de ceux du cinéma auquel Barratier rend hommage, existent réellement.Ceux qui font la mauvaise tête en voyant un film franchouillard se trompent.Je n'ai vu personne rire comme dans "les ch'tits" mais c'est vraiment autre chose.

j'ai vu, j'ai vu.On dirait du Duvivier relooké.La salle était pleine mais un public de gens installés, si vous voyez ce que je veux dire -m d r- louez "la belle équipe" ou sortez une vieille cassette " les visiteurs du soir" ou "la belle équipe" ce sera mieux.

un air de LA MOMME et des CHORISTES.Le cinéma franchouillard n'a vraiment rien d'autre à nous donner ? cela doit plaire aux anciens.Cette nostalgie qu'on veut montrer jeunes alors que la chaleur humaine d'autrefois reste à prouver.Je vais à la scéance de cet-après -midi pour voir mais avec la bande -annonce qui circule en boucle à la TV on a l'impression de savoir déja toute l'histoire par choeur.Comme pour les ch'tits.

Vous avez de la chance d'avoir vu l'avant première-c'est où ?

pourquoi parler d'un film qui n'est encore pas sorti à Besançon et qui a tout du plat surgelé et de la recette marketing automatique : un casting de vedettes françaises réuni autour du noyau dur du succès 2004 Les Choristes (Christophe Barratier à la réalisation, Gérard Jugnot et Kad Merad devant la caméra), un pichet de bons sentiments, une louche de nostalgie, quinze minutes au four et vous servez avec des pommes de terre. Le genre de produit qu'on digère sans peine entre le Julie Lescaut de la veille et le Zone interdite du lendemain.Je sens que je ne vai pas aimer plus que les choristes ou le Ch'tits , du bon franchouillard.

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