Avec des Villes, des Départements et des Régions majoritairement proches d'elle, la gauche n'a pas empêché la vague bleue des dernières législatives.
Avec trois échecs consécutifs aux présidentielles, le PS (national) semble dans l'impasse: la bonne implantation locale des élus, leur modernisme souvent innovant ne parvient pas à effacer la mauvaise image de la gauche et de ses composantes.
L' UMP (nationale) est au zénith, le MoDem ( national) se cherche, la droite est au pouvoir et même si localement elle paraît divisée, c'est elle qui pour l'instant, réforme, innove même si son action ne se fait pas sans vagues...
Cet espace est pour vous, prenez la parole et faites de la politique, locale, nationale, sur le net, de façon simple mais objective quelques soient vos convictions.
L'Agora était le centre de la vie sociale. Il y faisait bon s'y promener, parler, philosopher entre amis. Désormais le net est incontourtable pour donner à la démocratie un nouvel essort.
Le devoir de mémoire est sacré ; Pour autant , confier la mémoire d'un enfant victime de la shoah à un élève de cm2 , c'est le fragiliser, faire peser sur sa conscience le poids d'une émotion trop forte pour son jeune age . Il ne faut pas confondre le culte de la mémoire qui relève de l'émotion , avec le travail de l'historien qui appartient à la raison ; L'histoire ne sert pas à faire de la compassion avec la mémoire ; J. VUILLEMIN
Rédigé par : VUILLEMIN J. | 18 février 2008 à 15:25
Municipales et Saint Valentin
Message aux candidats :
Entre l'actualité qui brule et le stress du quotidien , il y a la poésie qui apaise . Voilà Saint Valentin . Si on oubliait , un peu les municipales , si on parlait un peu d'amour , cet ouragan des cieux qui emporte tout ;
" Moi à l'automne , vous au printemps,
Laissez moi vous parler vous parler en secret .
Ce que je vais vous dire , n'allez point le redire .
C'est pour vous , pour vous seuls un conseil discret .
De tout ce qu'on enseigne, de tout ce qu'on apprend ,
L'amour seul est beau , l'amour seul est grand ;
Il ignore le temps , ne compte que les printemps .
Sans amour , que serait tout ce qui fait le ciel ?
La lune , les étoiles et l'éclat du soleil . "
Bonne campagne . Jacques V.
Rédigé par : Jacques V. | 13 février 2008 à 08:34
Je me permets de vous faire part de deux erreurs dans votre page d'accueil au niveau du sondage concernant les élections municipales à BESANCON :
1° Le canton Besançon-Est comprend 13 bureaux (501 à 513) + Chalèze et Chalezeule.
2° Le canton Besançon-Nord Est ne comprend pas les bureaux 101 à 106 ainsi que les communes d'Arguel, Montfaucon, Saone... qui sont compris dans le canton de Besançon-Sud.
Je crois utile de modifier ces données qui peuvent tromper les électeurs.
Rédigé par : Madeleine L | 12 février 2008 à 15:51
Les journàlistes sont formidables:
Touchés pàr les reproches tellement injustes àu sujet du silence des médiàs concernànt là présence des Pingeot à l'Elysée, les médiàs se sont ràttràpés, disent-ils, (oui, oui, ce sont eux qui le disent), en couvrànt minute pàr minute, le suspens de l'ànnée, le divorce de Cécilià et Nicolàs. Rumeur, pàs rumeur, sépàràtion ou pàs, divorce, pàs divorce .... Bràvo à eux. Ils sont formidàbles.
Alors , on peut dire que maintenent , la presse est libre ?
Rédigé par : Nathalie P. | 18 octobre 2007 à 21:12
Pendant les grèves à l'école il est primordial et légitime d’assurer l’accueil des élèves, parce qu’on ne saurait les abandonner à la rue et accepter la posture hypocrite que les parents n’ont qu’à s’organiser ce jour-là. Le respect est une des premières valeurs de l’école. C’est respecter les enfants et les familles, mais aussi l’employeur, que d’imposer un préavis, un délai de prévenance, de quelques jours : temps nécessaire pour organiser l’accueil des élèves, non pas un accueil garderie, mais un accueil fondé sur un projet pédagogique. Alors pourquoi ne pas consacrer les jours de grève à des activités éducatives, sportives, culturelles, assurées par les non grévistes ou par des associations partenaires (visiter un musée, découvrir la nature, un métier, etc.…) ? Il y a suffisamment d’intelligence et d’imagination pour faire des jours de grève à l’école des journées dédiées à l’ouverture des esprits.
Rédigé par : Martine B. | 18 octobre 2007 à 00:13
Merci Anne de te manifester dans ce nouveau blog.Privilégie les commentaires politique locaux ce qui ne signifie pas que celui-ci manque d'intéret !
Rédigé par : Daniel AIME | 13 octobre 2007 à 16:45
Ne m'en voulez pas, je travaille et habite toute la semaine en Suisse et j'ai l'impression d'arriver dans un autre monde quand je reviens à Besançon.La semaine derbière, d'après la presse helvétique,la presse hexagonale était prête à officialiser la séparation du couple présidentiel. Les rédactions étaient dans les starting-blocks. Les journalistes français attendaient un communiqué de l'Elysée ou une déclaration de Cécilia Sarkozy pour faire leurs gros titres. «Les pages sont déjà», montées confirmait le rédacteur en chef d'un grand magazine. L'info devait tomber vendredi, puis dimanche, puis rien.
Les journalistes français ont traqué la première dame de France jusqu'à Genève où elle s'est, vérification faite, réfugiée il y a trois semaines. Protégée par ses gardes du corps, elle a effectivement passé deux nuits à l'hôtel la Réserve alors qu'enflait la polémique sur le rôle qu'elle avait joué lors de la libération des infirmières bulgares. Il n'est pas exclu qu'elle y soit retourné depuis ou qu'elle ait prévu d'y séjourner à nouveau. Ces derniers jours, en tout cas, elle n'était pas sur les bords du Léman mais à Londres.
Ce n'est pas la première fois que Cécilia Sarkozy vient se mettre au vert à Genève. Est-ce suffisant pour donner corps à la rumeur qui enfle dans l'entourage présidentiel? Le Canard enchaîné a lâché hier que le secrétaire général de l'Elysée, Claude Guéant, «a fait chercher dans les annales quels sont les présidents français ou étrangers qui ont divorcé» en cours de mandat.
C'est que les absences de la première dame de France commencent à poser de sérieux problèmes aux services du protocole. On l'a vu aux Etats-unis, où Cécilia a boudé la soirée chez les Bush en prétextant un mal de gorge. On l'a encore vu il y a quelques jours puisqu'elle a refusé de se rendre en Bulgarie où elle était pourtant très attendue.
Les ennuis de couple du président français ne sont plus du domaine de la sphère privée. Pourtant, la presse française ne sait toujours pas comment les aborder. Une question d'éthique? Pas seulement. Les patrons de presse sont tous amis avec le président. Tant que l'info n'est pas officielle, elle n'existe pas. Cécilia Sarkozy et Nicolas Sarkozy ne vivent plus sous le même toit. Est-ce suffisant pour pouvoir parler de séparation? Quelques journaux commencent à s'y aventurer. Beaucoup attendent une «permission» élyséenne pour pouvoir l'écrire. D'autres spéculent encore sur un nouveau rabibochage de dernière minute.
Toujours est-il que je ne lis aujourd'hui que des articles du le rugby et que finalement, c'est peut-être aussi bien comme cela.
Bon courage pour ton blog.
Rédigé par : Anne B. | 13 octobre 2007 à 16:37
J'ai envie de pousser un grand coup de gueulle et je le fais ici ( on verra si c'est vraiment libre)devant un grand problème auquel l'Etat se trouve confronté: le mariage homosexuel. Après avoir inventé la discrimination basée sur la notion de couple, l'Etat se heurte tout naturellement au problème des couples homosexuels. Car la discrimination sociale, morale et financière que l'Etat exerce entre les couples mariés et "les autres" ne pouvait laisser indifférents une catégorie de citoyens, les homosexuels, qui veulent eux aussi leur part du gâteau, c'est à dire les avantages liés à la vie en couple.
Encore une fois l'Etat, par un tour de passe passe ahurissant, réussit à se donner le beau rôle en inventant le PACS, présenté comme une "avancée sociale" alors qu'il ne vise qu'à étendre à une nouvelle clientèle électorale la discrimination positive (donc négative pour les autres) que représente le mariage.
L'état c'est la grande fiction qui s'efforce de résoudre tous les problèmes qu'il a lui-même contribué à créer.
Je ne suis pas certain que les politiques locaux soient très sensibilisés à ce problème.Je ne parle pas d'une sensibilité récupérée comme l'a fait un maire écolo du Sud pour sa promotion mais d'une véritable réflexion sur ce sujet de société.
Rédigé par : Christian D. | 13 octobre 2007 à 00:19
Il faut bien que quelqu'un "s'y colle" pour démarer ton blog, n'est-ce-pas Daniel.
Je voudrais parler du "détail" (celui de Fillon). Toute la complexité de la politique transparait parfois à l'observation, osons le mot, de certains détails. Il faut être capable d'un grand réalisme ou d'un froide lucidité et aussi d'une formidable habileté dans le maniement des symboles et dans leur mise en scène. Comment qualifier l'emploi des tests ADN dans la politique d'immigration? Samedi, François Fillon, premier ministre, a choisi un mot simple d'apparence, mais chargé de tellement de sens, en France, depuis vingt ans. "C'est un détail", a dit François Fillon. Et beaucoup de s'offusquer, de s'inquiéter: ne s'agit-il pas là d'un signe, d'un appel, en direction du Front national et de son chef qui, jadis, pas naguère puisque l'épisode a déjà vingt ans d'âge, jadis donc qualifia de "détail", comme chacun sait, la mort de six millions de Juifs dans les camps de concentration nazis durant la seconde guerre mondiale. "Détail", expliqua-t-il à postériori, car partie d'un tout. Détail fondateur pour un Occident pétrifié par l'horreur et rongé par la culpabilité. C'est cette dimension qu'occultait le mot utilisé et c'est cette occultation qui, aujourd'hui encore, est reprochée à Jean-Marie Le Pen et rend pratiquement inutilisable, sur la scène politique ce mot d'apparence si anodine.
Pourquoi donc François Fillon l'a-t-il utilisé à la tribune? Inattention due à la fatigue? Transgression volontaire pour tenter d'être bien compris? Ou bien mieux entendu, ce qui n'est pas la même chose? A Matignon, hier, on exprimait l'incompréhension face à ce qui était qualifié de procès d'intention, d'erreur d'analyse, ou bien encore de bêtise dans l'interprétation. Tout cela est juste. En même temps, tout comme l'enfer se trouve pavé de bonnes intentions, la scène politique est carrelée par des symboles. L'ignorer ou le négliger ne dispense pas de devoir faire face à ce que déclenche la transgression de ces symboles.
Toujours est-il qu'il ne faudrait pas que ce genre de tabou qui est in-fine que du "politiquement correct" vienne polluer notre langue.Si Le Pen dit demain que le temps est "pourri" on ne devrait plus parler des choses "pourries" sans penser à lui ?
Raison de plus pour s'occuper de l'essentiel (l'environnement, les retraites, les 40 heures, la demaine des 4 jeudis à l'école...) et oublier ce qui n'était ...qu'un détail...
Rédigé par : Dominique B. | 12 octobre 2007 à 23:14