Déclaration de soutien de jeunes responsables PS, UDF-Modem, UMP, Nouveau Centre, Verts, Radicaux de Gauche et d’indépendants, à une proposition de l'Alliance pour la Planète dans le cadre du Grenelle de l’environnement.
Serait-t'il impensable qu'à Besançon, ville verte, ville du refus du Grand-Canal, il ne se trouve une majorité d'idées, à défaut d'une unité politique pour travailler sur une telle proposition qui sort enfin du prêt à penser "politiquement correct" pour aborder un réalisme pragmatique ?
«Nous n’avons pas peur de la société de consommation, nous n’avons connu qu’elle. Travailler pour des entreprises oui ! Consommer oui ! Mais pas pour n'importe qui, pas n'importe comment, pas à n'importe quel prix !
Aussi éloignés du "patrons voyous" et du "tous pourris" imbéciles que de la fascination stupide devant l'hypercapitalisation, nous, jeunes engagés de différentes sensibilités, citoyens actifs ou simples consommateurs d'aujourd'hui et de demain, salariés et entrepreneurs, demandons à l'Etat français d'oeuvrer très concrètement pour une obligation d’information des entreprises sur leur impact, et ainsi de remédier à la schizophrénie de la relation entre Français et entreprises.
Le seul moyen, à nos yeux, de rétablir un lien de confiance est d'aider les Français à distinguer les entreprises les unes des autres.
Pour permettre ce choix, les bons élèves doivent être distingués des autres. Il est donc normal que les entreprises qui refusent d‘informer sur leur impact environnemental soient sanctionnées. C’est à ce prix que les entreprises vertueuses récolteront l’avantage concurrentiel qu’elles méritent.
Seules ces informations permettraient d’influer réellement sur les pratiques.
Ce que nous demandons aux élus de la République, ce n’est pas de parler du changement mais de réaliser celui-ci.»
Synthèse de la mesure soutenue : Impossible aujourd'hui pour un Français de savoir par exemple qui de Renault ou de Peugeot a le meilleur comportement environnemental. Les informations qui sont accessibles au grand public sont illisibles et non vérifiées. L’Alliance pour la planète demande une obligation réelle d'information sur l'ensemble de l'activité d'une entreprise et sur 3 ou 4 indicateurs sociaux et environnementaux compréhensibles par chaque consommateur et citoyen.
Lisez ici le texte complet (en PDF)
Ce Grenelle de l'environnement, plus on en parle, plus j'en perds mon latin. On entend tout et son contraire.
Par contre les étrangers regerdent çà avec avec grand intérêt.
Ce brave Nicolas Hulot qui tel le bon chevalier blanc s'imagine qu'en augmentant
l'essence a la pompe réduire le CO2 , ce Monsieur est un rêveur mais qu'il ne
s'impatiente pas trop dans l'avenir l'essence va coûter aussi cher que 100 grs de caviar ce qui aura pour effet de réguler automatiquement la circulation des automobilistes, attendez vous comme disait si bien Geneviéve Tabouis a rouler en bicyclette, pour le plus grand plaisir des nantis
Rédigé par : Basile | 25 octobre 2007 à 23:59
Bonjour,
Quelle sera l'influence de l'extinction 5 minutes de ma lampe de salon de 100 Watts sur le réchauffement de la planète ???? Ne pourrait-on pas plutôt demander aux grandes surfaces qui construisent des "hangars" , de faire des ouvertures style Velux sur les toitures pour faire entrer la lumière du jour et éviter ainsi que de 9h à 20 h toutes les rampes d'éclairage soient allumées. Aux autorités qui délivrent le permis de construire de prendre leur part de responsabilité dans ce domaine . Si on multiplie l'économie par le nombre de magasins ça devrait commencer à être un chiffre significatif et moins de frais de fonctionnement pourrait avoir des répercussions sur les tarifs des marchandises.... A méditer
Rédigé par : Camille | 24 octobre 2007 à 00:23
on se fiche de savoir si les verts ont eu raison ou pas.
Les pauvres interventions en ce sens donnent une piètre image de leur objectif.
Faut-il se battre pour que les verts existent ou pour que nous menions tous ensemble un combat pour sauver la planète
Rédigé par : Emilie | 18 octobre 2007 à 19:38
Borloo dit des choses vraies mais c'est parceque les verts ont tiré la sonnette d'alarme bien avant lui qu'il peur réaliser , comme le dit D. Voynet le presque-miracle de réunir des gens autour de ce sujet.Le > qui était la bible il y a quelques années est devenu >
On ne fera rien sans l'isolation des logements , sociaux ou non, l'élimination des pesticides...mais qui va payer, on paye déja pour les poubelles, pour le recyclage des outils technologiques, pour traîter l'eau, pour circuler...Il n'y a pas de solution miracle: pas de financement, pas de résultats.Les français soutiennent mais juqu'à quand ?
Rédigé par : Corine T. | 16 octobre 2007 à 23:02
moi je pense que tout cela, c'est de la propagande à Borloo et que de toute façon, à Besançon ou ailleurs les partis politiques qu'ils soient verts, orange , rouges ou jaune ne sont pas prêts à se mettre ensemble autour d'une table , même virtuelle pour se parler.Leur spécificité leur permet d'exister et je pense surtout aux verts qui se sont déja fait laminés lors des dernières élections et qui ont aucun intéret à des réflexions communes si ils veulent conserver une existence locale à Besançon par exemple.
Bien s^r, fin septembre, six groupes feront des propositions assorties d'objectifs,de calendriers et de financements possibles.Il y aura une consultation auprès de la société française par internet et avec des conférences réggionales avec ce fameux Grenelle à la fin.
Un plan d'action, des mesures, attendons de voir mais je crois bien que ce n'est que de la poudre aux yeux.
merci de nous laisser la parole.
Rédigé par : Jea-Pierre C. | 16 octobre 2007 à 17:57
Faites plutôt un Grenelle des retraites au lien de vous occuper d'envirionnement !
De tous les régimes spéciaux, le régime de retraites des élus mérite la palme.
Il accorde tous les avantages :
- des pensions aux petits oignons : après seulement un mandat, les
parlementaires peuvent toucher une retraite de 1 548 euros par mois,
c'est-à-dire le montant de la retraite moyenne perçue par les retraités
du privé après une carrière complète (40 annuités)1.
- un rendement sans équivalent : l'élu cotise souvent double les
premières années de son mandat mais, une fois à la retraite, il perçoit 6
fois sa mise alors que, dans le régime général des salariés du privé, le rapport est
seulement de 1 ou de 1,5.
-un cumul illimité : en plus de sa retraite parlementaire, l'élu a la
possibilité de percevoir les retraites liées à sa profession ou aux autres
mandats qu'il a exercés : retraite de maire, retraite de conseiller général ou
régional, retraite de fonctionnaire, etc...
Des pensions souvent également servies par des régimes spéciaux.
Summum des privilèges, les droits à la retraite du fonctionnaire élu au
Parlement continuent à courir comme si son traitement lui était
effectivement payé.
Arrivé à 60 ans, il touche ainsi une retraite à taux plein !
Réforme des retraites : et si les élus montraient enfin l'exemple ?
PS : Je compte sur vous pour diffuser cette note si vous en avez le courage3.C'est en diffusant l'information que nous pourrons faire avancer la
transparence sur notre régime retraite afin de gagner notre combat sur sa réforme en profondeur pour
un système plus juste et plus responsable de tous ces élus qui veulent nos suffrages.
1 D'après le ministère de l'Emploi et de la cohésion sociale, le montant
moyen de la pension des retraités affiliés au régime général était, fin
2004, pour une carrière complète, de 1 871 euros pour les hommes et de 1 131 euros pour
les femmes.
Rédigé par : Régine M. | 15 octobre 2007 à 21:13
Dans la pratique et dans les faits que va t-il se passer ? Là est bien la question.Avant d’agir, il faut pouvoir mettre le doigt sur les problèmes, les crises clairement identifiées , hors les experts en charge des dossiers, sont-ils vraiment au courant de ce qui se passe ?
Comment pouvez-vous mettre en ligne un tel blog dans une ville ou la préocupation environnementale est la préocupation majeures de tous les élus?
Pour reprendre les propos de certains professionnels dans le domaine de l’agriculture raisonnée : "certains experts sont décalés de la réalité, dépassés et auraient pour certains un retard de près de 20 ans dans la connaissance de certaines pratiques actuelles (traitements chimiques des plantes entre autres).
Comment peut-on imaginer qu’ils seront pertinents pour tirer des conclusions ? Surtout une analyse qui engagera des mesures par ceux-ci qui se croyant au fait des techniques ,accusent dans la pratique une obsolescence ?
Je souhaite juste pointer du doigt ce que certains pensent tout bas d’un rendez-vous sur le fond plein d’espoir, qui pourrait être en fait une manoeuvre maline pour susciter de nouveaux sympatisants vers une politique de communication à laquelle vous participez.
Rédigé par : Basile F. | 15 octobre 2007 à 15:37