1. Philippe Gonon, 54 ans, chef d'entreprise.
2. Odile Faivre-Petitjean, 58 ans, professeur d'histoire- géo.
3. Michel Josse, 60 ans, directeur de société.
4. Catherine Comte-Deleuze, 55 ans, maître de conférences université.
5. Xavier Chaput, 34 ans, ingénieur.
6. Manuelle Castellano, 40 ans, travailleuse sociale.
7. Yannick Bouvard, 28 ans, webmaster.
8. Josiane Lanz, 59 ans, retraitée de l'enseignement.
9. Didier Cristante, 49 ans, enseignant.
10. Océane Schneider, 19 ans, étudiante.
11. Claude Gaillard, 63 ans, cadre bancaire.
12. Christine Rouillaux, 48 ans, avocate.
13. Jérôme Conscience, 31 ans, plasticien.
14. Pascale Jillard, 52 ans, secrétaire.
15. Olivier Charbonnier, 31 ans, opérateur.
16. Julie Baverel, 34 ans, enseignante.
17. Matthieu Boban, 24 ans, étudiant.
18. Christine Longeron, 52 ans , secrétaire.
19. Pascal George, 51 ans, ingénieur.
20. Berthe Stauffenegger, 72 ans, retraitée de l'enseignement.
21. Denis Poignand, 64 ans, artisan retraité.
22. Lucie Delsalle, 19 ans, étudiante.
23. Philippe Barres, 53 ans, gérant d'entreprise.
24. Virginie Touvrey, 40 ans, employée commerce.
25. Anthony Vuillemin, 20 ans, étudiant.
26. Ghislaine Filloux, 38 ans, attachée commerciale.
27. Thierry Busson, 38 ans, chargé de communication.
28. Marie-Claire Bruno, 62 ans , retraitée.
29. Olivier Fetet, 48 ans, directeur d'école.
30. Françoise Rommel, 53 ans, gestionnaire en assurances.
31. Justin Bonvalot, 68 ans, retraité.
32. Claudine Chopin, 49 ans, attachée de groupe.
33. Camille Jeantot, 46 ans, comptable.
34. Anne-Marie Sarnin, 77 ans, retraitée.
35. Jean-Pierre Blet, 50 ans, maître d'œuvre.
36. Damienne Guillame, 48 ans, agent administratif.
37. Géraud Gaillard, 23 ans, étudiant.
38. Patricia Pergaud, 44 ans, secrétaire.
39. Jean-Louis Bellom, 67 ans, retraité de l'enseignement.
40. Noelle Seltier, 45 ans, agent administratif.
41. Abdelrahim Chedmy, 37 ans, soudeur.
42. Annie Michel, 54 ans, enseignante.
43. Régis Tarrapey, 47 ans, commercial.
44. Marcelle Cultet, 70 ans, retraitée.
45.Benjamin Monnet, 23 ans, étudiant.
46. Anne-Marie Jacquemin-Sauvage, 69 ans, retraitée.
47. Kevin, Guérin, 19 ans, étudiant.
48. Rachel Blaise, 55 ans, chauffeur autocars.
49. Michel Faivre, 61 ans, retraité.
50. Stéphanie Qabali, 28 ans, mère de famille.
51. Philippe Lardenet, 34 ans, juriste.
52. Marie-Claude Zumsteeg, 43 ans, secrétaire.
53. Christophe Grandjacquet, 47 ans, cadre territorial.
54. Marianne Bessot, 64 ans, retraitée.
55. Jean-Lou Perrot, 66 ans, ingénieur.
bonjour,
L"affaire" Cavada désormais balayée de l'actualité politique ne doit pas occulter le phénomène bisontin où Philipe Gonon et son équipe volontaire et déterminée, sont en train de bousculer le bipartisme traditionnel à Besançon !
Qui sera en lice au 2nd tour ?
PS - UMP - MODEM ou PS - MODEM
dans tous les cas, et malgré une presse qui ne relaie pas son discours, François Bayrou l'avait annoncé et l'annonce encore, "quelque chose d'orange est en train de se passer qui va aérer le discours politique trop entendu et langue de bois"
A Besancon, les démocrates de toute tendance et de tout horizon vont se rassembler autour de Philippe Gonon parce qu'il est un homme neuf avec un projet clair et lisible
Rédigé par : chris_53 | 13 février 2008 à 14:36
Oh, mon rejet de Cavada ne va pas chercher ses racines si loin ! Vous me prêtez des raisons politiciennes que je n'ai pas... Je rejette juste un homme qui, pendant toute l'année 2007, discours après discours, dans les interviews, disait qu'il fallait un équilibre en France et qu'il ne fallait pas laisser tout le pouvoir à Sarko. Les grandes et belles convictions s'effacent quand on vous propose un poste ensuite... Voilà ce qui me choque !
Rédigé par : Thierry, candidat MoDem Besançon | 07 février 2008 à 06:23
Le paradoxe apparent de la posture Bayrou tient dans le fait qu’il est la deuxième personnalité française
jugée opposée à Sarkozy dans les sondages ou les médias mais il défend une tactique électorale zigzagante et souvent incompréhensible mais Cavada , intelligent, a bien compris, lui , que tout cela conduisait dans une impasse dangereuse.
Dans l'emission de RTL/LCI/Le Figaro, il a dévoilé ce que sera sa tactique.
Il vise l’hégémonie dans l’opposition à Sarkozy, tout en maintenant autant que possible ses liens avec la droite. Il a en tête toujours cette stratégie du centrisme
présidentiel qui a montré ses limites…
En le regardant sourire à l’évocation du départ vers l’UMP de son candidat MoDem à Lyon, on imaginait aisément qu’il y voyait un signe du destin. Transpercé
par les flèches de l’ennemi, il pouvait montrer son intransigeante pureté.
La réaction de Thierry, candidat du modem indique bien une forte intransigeance et l'art politicien du-c'est moi qui ai raison- et les autres sont mauvais- la politique classique, rien de nouveau.
Rédigé par : poilagratter | 06 février 2008 à 21:47
Oui, voilà un sondage qui me comble de joie... Les gens qui se détournent de leurs idées, qui trahissent Bayrou pour des maroquins, qui trompent les adhérents (en l'occurence ceux du MoDem), qui sont tentés par un poste ministériel, qui sont parachutés dans un quartier dans lequel ils n'ont mis les pieds auparavant que pour aller dans les bons restos, alors oui, ces gens-là sont méprisables... Ce monsieur va se prendre une raclée car les électeurs sont des gens intelligents, mais lui ne croit qu'en lui et méprise les autres... Bien fait !
Rédigé par : Thierry, candidat MoDem Besançon | 06 février 2008 à 15:51
sondages municipales Paris 12°
Mme BLUMENTHAL(PS): 56%
CAVADA: 43%
a la trappe,le traitre du MODEM
Rédigé par : Gérard | 06 février 2008 à 15:43
Bonjour Christian
Oui, la liste MoDem de Besançon est totalement indépendante, aucune aliance, et nous espérons être bien placés au second tour... Et pourquoi pas, créer une belle surprise !
Rédigé par : Thierry, candidat MoDem Besançon | 05 février 2008 à 16:34
Si mes souvenirs de presse écrite et de radio sont exacts,à Dijon, un accord de premier tour a été conclu avec le maire socialiste sortant, François Rebsamen et le Modem. Il s'est passé la même chose à Roubaix et à Grenoble. Estimant que «les clivages droite gauche sont dépassés», le MoDem a, à l'inverse, passé des accords de premier tour avec des candidats de l'UMP. C'est le cas avec Alain Juppé à Bordeaux, ou encore avec le ministre de l'Éducation nationale Xavier Darcos à Périgueux.
J'ai donc toujours autant de difficultés à suivre la démarche du Modem de Besançon: indépendance ou pas ?Les clivages traditionnels disparaîssent mais localement, les alliances sont en réalité très électoralistes donc classiques.Besançon serait donc uneheureuse exeption.
Merci pour ce blog.
Christian
Rédigé par : Christian | 29 janvier 2008 à 16:17