Didier Gendraud, adjoint au maire de Besançon est un utopiste. Après avoir quitté les Verts grâce auxquels il a été élu mais qu’il trouvait trop dogmatiques, il a rejoint en cours de mandat le PS local ; ce dernier a refusé de le prendre sur la liste de Jean-Louis Fousseret pour mars 2014.
Didier Gendraud est un utopiste : il pense que les listes sont faites selon les tendances au PS et que certains membres sont embarrassés d’être à la fois juge et parti ; il croyait sincèrement à un avenir radieux avec Hollande.
Didier Gendraud est un utopiste : il rêve de listes sans notables, sans cumulards, sans quatrième mandat (voire plus) sans professionnels de la politique, sans dirigeants et collaborateurs de cabinets.
Didier Gendraud est un utopiste : il rêve que les responsables des « affaires » ne soient plus élus et que les fidèles lieutenants ne soient pas remerciés; il rêve d’une liste qui sache séduire les bisontins lassés de la politique politicienne.
Didier Gendraud est un utopiste: il rêve de rassembler les personnes de bonne volonté dans une liste à la fois apolitique et multi-politique, sincère et ambitieuse.
Didier Gendraud est un utopiste et croit, comme Victor Hugo que « l’Utopie est la vérité de demain »
Et si l' Utopie, comme la femme, était l'avenir de l'homme ? Didier Gendraud est un utopiste et, comme tous les utopistes, il séduit ou dérange. Ses anciens amis d’EELV lire et... la société protectrice des animaux de Besançon (excusez du peu) lire attaquent déjà le futur candidat, et pas toujours au-dessus de la ceinture. Deux premiers signes de bon augure ?
sacrė utopique amis bonne chance à Didier je le sais très sincère
Rédigé par : Marie -F | 28 novembre 2013 à 02:20
être utopique comme Proudon la gloire locale un projet qui me convient bien
petit rappel Google :
Pierre Joseph Proudhon, séduit par les idées socialistes, écrit en 1840 son premier manifeste « Qu'est ce que la propriété ? ». La réponse qu’il apporte à cette question, « la propriété, c’est le vol », choque alors l’opinion publique. L’auteur, qui s’inspire du « Discours sur l’origine de l’inégalité parmi les hommes » de Rousseau, dénonce ainsi les propriétaires terriens qui exploitent les travailleurs. Ses idées feront des émules chez Marx, qui désapprouvera cependant l’anarchisme grandissant de Proudhon.
Rédigé par : yipou | 25 novembre 2013 à 15:25
Ce n'est pas Victor Hugo mais Platon qui introduit le concept en philisophie . IL parle de l'utopie dans l'état comme Aristote fit un peu plus tard. Pour lui la société devrait être organisée de façon idéale et je souhaite bon courage à Didier Gendraud pour faire en quatre mois ce que les hommes n'ont pas pu réaliser en 20 siècles
Rédigé par : Y.J. philosophe | 24 novembre 2013 à 23:28