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Lorsqu'il a 23 ans, ses parents l'envoient étudier le droit en France, à l'université de Besançon. Mais, la musique prend le pas assez vite sur les cours. Il s'inscrit à l'école normale de musique de Paris. Dès cette époque, il tente de sortir un disque, mais sans succès. En revanche, il créé une troupe théâtrale, Masques et Tam-Tam, mêlant musique et théâtre. Pour l'occasion, il rencontre et travaille avec le comédien Martin Yog et les musiciens Alfred M'Bongo de l'ex-Zaïre et le franco-camerounais Manuel Wandji. D'une troupe à l'autre, Henri Dikongué travaille ensuite avec Banthu Maranatha, chorale sud-africaine. Henri Dikongué choisit finalement de s'installer définitivement à Paris en 1989, où il se perfectionne en guitare classique. Au cœur de la capitale, il est désormais aux premières loges pour profiter pleinement de l'intense activité musicale africaine et world-music en général, qui s'y est largement développée dans les années 80. Il travaille aux côtés des grands noms tels son compatriote Manu Dibango ou l'ex-Zaïrois Papa Wemba. Outre ces nombreuses expériences accumulées durant ses années parisiennes, Henri Dikongué continue d'écrire en vue de sortir enfin son album. Il s'avoue lui-même assez lent et plutôt minutieux, d'où de longues années avant de sortir son propre travail.
Lorsqu'il a 23 ans, ses parents l'envoient étudier le droit en France, à l'université de Besançon. Mais, la musique prend le pas assez vite sur les cours. Il s'inscrit à l'école normale de musique de Paris. Dès cette époque, il tente de sortir un disque, mais sans succès. En revanche, il créé une troupe théâtrale, Masques et Tam-Tam, mêlant musique et théâtre. Pour l'occasion, il rencontre et travaille avec le comédien Martin Yog et les musiciens Alfred M'Bongo de l'ex-Zaïre et le franco-camerounais Manuel Wandji.
D'une troupe à l'autre, Henri Dikongué travaille ensuite avec Banthu Maranatha, chorale sud-africaine.
Henri Dikongué choisit finalement de s'installer définitivement à Paris en 1989, où il se perfectionne en guitare classique. Au cœur de la capitale, il est désormais aux premières loges pour profiter pleinement de l'intense activité musicale africaine et world-music en général, qui s'y est largement développée dans les années 80. Il travaille aux côtés des grands noms tels son compatriote Manu Dibango ou l'ex-Zaïrois Papa Wemba. Outre ces nombreuses expériences accumulées durant ses années parisiennes, Henri Dikongué continue d'écrire en vue de sortir enfin son album. Il s'avoue lui-même assez lent et plutôt minutieux, d'où de longues années avant de sortir son propre travail.
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Je ne suis pas venue ici depuis un moment. Je n connais pas ce chanteur: tu écris qu"il est de Besançon mais on ne le voit jamais; il y a des concerts ? on peut le rencontrer? comment tu le connais ?
Rédigé par : Desdémone 25 | 24 juillet 2008 à 23:20
ndol assu Ca vaut bien le tube de l'été, non ?on devrait l'inviter plus souvent à Besançon pour les animations.pourquoi tu parles de lui sur ton blog ? Julie
Rédigé par : Julie for Julie lol | 23 juillet 2008 à 01:50
On aime hENRY mais on ne le voitpas assez à besançon. quand viendra il présenter son nouvel album.On connait que Aldebert mais il est aussi d'ici.
Rédigé par : anne | 22 juillet 2008 à 22:54
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Je ne suis pas venue ici depuis un moment.
Je n connais pas ce chanteur: tu écris qu"il est de Besançon mais on ne le voit jamais; il y a des concerts ? on peut le rencontrer? comment tu le connais ?
Rédigé par : Desdémone 25 | 24 juillet 2008 à 23:20
ndol assu Ca vaut bien le tube de l'été, non ?on devrait l'inviter plus souvent à Besançon pour les animations.pourquoi tu parles de lui sur ton blog ?
Julie
Rédigé par : Julie for Julie lol | 23 juillet 2008 à 01:50
On aime hENRY mais on ne le voitpas assez à besançon. quand viendra il présenter son nouvel album.On connait que Aldebert mais il est aussi d'ici.
Rédigé par : anne | 22 juillet 2008 à 22:54