C’est histoire d’un journaliste qui revient dans sa vallée natale enquêter sur les nombreuses morts suspectes y compris celle de son meilleur ami d’enfance. « Le repaire de la Vouivre » un scénario qui ressemble à celui de Poupoupidou, tourné à Mouthe.
L’intrigue est compliquée, le rythme rendu très lent à cause de « l’alibi culturel » de la Vouivre et de dialogues à rallonge . Jean-Marc Bart avec sa barbe moscovicienne et un léger accent british en fait des tonnes et à l’instar de Rufus, son père, a oublié d’apprendre à sourire.Etonnez-vous que sa fille soit neurasthénique. Le seul intérêt de ce mauvais polar régionaliste aurait pu résider dans la mise en images de notre région, après tout, comme pour « Poupoupidou » ou « La guerre des Miss » (qui n'ont pas rempli les salles obscures) j’en ai financé une partie avec mes impôts et la redevance…Que nenni ! Dès les premières images de ce trop long téléfilm , il pleut des cordes, et on ne quitte jamais les sentiers dix fois rebattus de la D 67.La cour de la gendarmerie , le cimetière d'Ornans et la façade de l'Est-Républicain ne sont pas d'excellents vecteurs de com...
J’ai abandonné dès le milieu du second épisode : la longueur des dialogues, les réactions attendues de l’adolescente rebelle, de l’infirmière éconduite, l'inquiétante masseuse N'Guyen, la gendarmette énigmatique (et pour cause...) ces meutres tous les quarts-d'heure, un scénario rempli de ficelles policières éculées, sont d’un ennui si pesant qu'ils en deviennent vite comiques. Heureusement, famille et amis à qui je fais visiter la vallée de la Loue depuis 40 ans savent que ce n’est qu’une mauvaise fiction ennuyeuse. La Franche-Comté, la vraie, ce n’est pas celle du notaire d’Ornans ni du Rouletabille en herbe de l’Est –Républicain. De cette histoire à tiroir, véritable concours d'enfoncement de portes ouvertes, Simenon aurait tiré un polar aux petits oignons à savourer en deux heures avec un commissaire Maigret conquis par un « p'tit coup de gentiane » à la fin des repas.
Ce soir, je vous conseille de ressortir le DVD de «Les Granges brûlées » ou celui de « Le septième Juré » qui vous rappellera qu’on peut construire des intrigues envoutantes, sans La Vouivre et humer les odeurs régionales sans y passer quatre heures.
Le tramway bleu de Besançon: vous en vouliez ou non ?
Lisez donc "La Vouivre de Loire",de Jean-pierre SIMON, édité à compte d'éditeur chez Corsaire Editions à Orléans. Voir le sire Corsaire-editions.com et ceux des boutiques en ligne: Fnac, Amazon, Etc.
En librairie dans toute la vallée de la loire
C'est un polar qui déménage, celui-là !
Rédigé par : Jean-P SI | 06 février 2013 à 20:08
Daniel: regardé les deux derniers épisodes pour les paysages.Je pense comme toi
Rédigé par : Monique Bo. | 07 juillet 2011 à 23:34
y'a qq chose d'une majesty
il se croit au colorado
moi j'ai regardé pour les images mais craqué au dernier épisode
donc après toi
c'est qui qu'a tué
je pensais a la masseusse ou à la policière au début because toujours ceux qu'on peut pas soupconner
Rédigé par : anonyme | 01 juillet 2011 à 14:50
troisiemme épisode encore plus long mais j'aime bien
pas fan des autres mais j'adore Rufus
juste qu'il faut dire que c'est plus un petit coin de paradis et que la Loue est polluée.
Rédigé par : anonyme | 29 juin 2011 à 21:51
t'as raison encore plus chiant que la semaine dernière mais je regarde avec Jérome et on voit comme un truc comique LOL
un bon film de 90 min c'était bon
OK
Rédigé par : Brigounette | 29 juin 2011 à 21:30
je suis moins critique que vous sauf pour la longueur ils auraient pu faire en moins de deux heures
la régions a aussi aidé d'autres échecs comme Poupoupidou le guerre des mis et un autre machin en haute saone
et en plus pourquoi la redevance elle sert à quoi ?
Rédigé par : Christian V. | 29 juin 2011 à 21:08