Tu parles d’un mauvais temps sur Besançon, même les musiciens des rues en souffrent, un vrai temps de chien…
Les footballeurs qui menacent de faire grève…
Les blogs qui passent par des hauts et des bas...
Comme la France, la Franche-Comté officiellement en récession , même si un ministre parle de « récession technique » ce qui est, convenons-en très subtil…
Le président du sénat a lâché, très mécontent, les 200 mètres carrés qui lui étaient alloués gratuitement: les deux nouveaux sénateurs doivent être contents de ces économies substantielles...
Les footballeurs français menacent de faire grève (ça je l’ai déjà écris…mais c’est pour faire plaisir au Mimi…)
Les squatters on déserté Canot: même pas eu besoin de les expulser...
dimanche, Il fait un temps de chien, beaucoup trop frais pour la saison…
Les footballeurs français menacent de faire grève (ça je l’ai déjà écris…mais c’est encore pour faire plus plaisir au Mimi…)
Bernard n'est pas le pêre du bébé de Rachida...moi non plus...
Mon Super U fermé à cause d'un décès...
De quoi espérer ? la bizzzzzzontine a du succès, le festival intra-boucle est sympa avec des musiciens et beaucoup de bruit partout, les handballeuses bisontines font fureur, Guillaume va faire un tabac avec ses contes…
Un artiste voudrait dormir par des moyens divers et variés dans une association culturelle bisontine...
Alors, vous avez aussi à vous plaindre ou vous êtes heureux ?
Dites le en écrivant des textes-commentaires sur ce libre espace de réflexion qui est tout entier réservé à vos états d’âmes; vous le demandez avec tant d'insistance depuis si longtemps (mais respectez la "nétiquette" )
à voir: une leçon de laïcité cliquez ici
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BESAGORA c'est 3735 visiteurs uniques (*) la semaine dernière: merci !
(*) du 29 sept. au 6 oct.
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Quelles villes mettront le place le dispositif gouvernemental de service minimum dans les écoles ?
A Besançon: pas d'information.
Bertrand Delanoë à Paris,s'est engagé à appliquer el service minimum, sans grande conviction, estimant qu'un délai de 48 h pour organiser l'accueil était « peu réaliste». Il s'y était opposé en mai avant son adoption au Parlement, le jugeant «contraire à la Constitution».
A Strasbourg, le droit d'accueil restera à la porte des écoles demain
L'adjointe au maire Nicole Dreyer regrette le manque de moyens alloués aux municipalités. «Si nous avons à respecter la loi, nous n'avons pas à nous plier en quatre»,explique-t-elle.
A Toulouse, pas de service minimum faute de sécurité
La mairie a expliqué être dans «l'incapacité de mettre en application la loi du 20 août 2008», donc d'accueillir les écoliers dont les professeurs seraient en grève.
A Nantes, front de gauche contre le service minimum
Les maires de la majorité de gauche de la communauté urbaine de Nantes arguent eux aussi du manque de moyens. «Le nombre de personnes demandé par l'Etat est tel que certaines communes devront rechercher des volontaires au-delà de l'effectif municipal», expliquent-ils. A Rézé, 35.000 habitants, seules deux personnes ont répondu à l'appel au volontariat du maire.
A Lille, Aubry va essayer
La maire PS Martine Aubry, essaie d'appliquer «une loi de la République». Mais selon elle ne parviens pas «à trouver des gens formés». Des personnels seront mis à disposition des établissements. Mais la ville juge que techniquement, elle «n'aura pas les moyens d'assurer un service partout».
Mais à Valenciennes (UMP), chez Jean-Louis Borloo, des agents territoriaux prendront en charge les élèves de maternelle. En élémentaire, un accueil centralisé est prévu dans une salle de sport.
A Marseille, il y aura le service minimum dans toutes les écoles où les grévistes dépasseront 25%, comme le prévoit la loi. Les enfants seront accueillis dans les centres aérés.
En Seine-Saint-Denis, les maires ou représentants des 26 villes de gauche ont déclaré qu'ils n'appliqueraient pas le dispositifs.
A Besançon: pas d'information.
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